Les systèmes d'éclairage de secours doivent être immédiatement opérationnels en cas d'urgence, car en cas de panne de secteur, ils doivent permettre de quitter le bâtiment en toute sécurité pendant le temps imparti. Cela nécessite non seulement un contrôle permanent des luminaires à pictogramme et de sécurité et de la technique de commutation, mais aussi une surveillance des batteries utilisées. La méthode de surveillance souvent utilisée sur le marché, qui consiste à surveiller la symétrie des batteries à l'aide d'une prise médiane, n'est pas suffisamment probante, car le jeu de batteries n'est alors divisé qu'en deux groupes de 9 blocs chacun. Il n'y a donc pas de surveillance bloc par bloc.
L'électrolyte lié dans le non-tissé ou le gel se dessèche même en fonctionnement normal. Ce phénomène n'est pas visible de l'extérieur et ne peut pas être évité par la maintenance. Il s'ensuit un défaut du bloc de piles.
La chaleur générée par un court-circuit interne, par exemple, accélère les réactions exothermiques au sein de la batterie, ce qui génère encore plus de chaleur. Cela peut entraîner la formation de fumée ou de flammes, voire l'explosion du bloc de batterie.
Les matériaux emportés qui s'accumulent au fond de la batterie peuvent provoquer un court-circuit entre les cellules.
La corrosion de la liaison entre les plaques et le boulon de pôle peut entraîner une perte d'épaisseur du matériau et finalement une rupture. Cela conduit à ce que l'on appelle la
mort subite.
